par Hélène Gignac, experte en écologie industrielle
Depuis la publication en mars dernier de la première étude sur l’économie circulaire au Québec , la majorité des intervenants économiques québécois s’entend que 2018 sera sans conteste l’année de l’économie circulaire.
Les études de cas répertoriés soutiennent que l’économie circulaire permet de réduire l’impact environnemental, mais également d’obtenir des gains de productivité, d’efficacité et de rentabilité, en plus de stimuler l’innovation et de disposer d’un fort potentiel entrepreneurial. En transformant le modèle d’affaires traditionnel, du berceau au tombeau, en un système qui tient compte de la finitude des ressources et de la circularité des matières, de nombreuses occasions d’affaires s’offrent aux entreprises et créent de l’activité économique. Nous avons donc tout à gagner à améliorer notre compréhension de ce concept et de ces retombées.
Malheureusement, la fermeture des marchés de la Chine à nos matières résiduelles nous démontre que le modèle n’est pas encore bien en place.
Vous avez une question concernant l'économie circulaire au Québec ? N'hésitez pas à le contacter dès maintenant!
Comments